UNE HONTE POUR L’HUMANITÉ OU CE QU’IL EN RESTE

Pourquoi se mentir et refuser de regarder les réalités en face ?
Jusqu’où est on prêt à aller ou laisser-aller ?
En dehors des images d’enfants et adolescents tués ou blessés qui font froid dans le dos, mettre en péril des nouveaux nés qui ne perçoivent pas encore distinctement ce qui les entoure en sons et lumières, est un crime odieux condamnable.

Quels que soient leur nationalité, leur lien de parenté… vouloir éradiquer le terrorisme qui en ce 13 novembre 2023 vient rappeler les sinistres attentats auxquels se sont livrés des individus radicalisés islamistes qui ont fait en novembre 2015, à Paris, d’innombrables victimes directes et indirectes, la barbarie sous prétexte de vengeance aveugle ne se justifie nullement.

Cette dernière témoigne plutôt d’une faiblesse, d’une déraison concernant le droit de vivre que doit avoir tout individu, qui plus est dés sa naissance, sans qu’aucun lien avec les mouvements terroristes n’existe.

Il est grand temps que l’humanité qui s’inscrit comme le mantra des démocraties ou ce qu’il en reste, se réveille !

Car ces enfants tout juste sortis du ventre de leur mère, s’ils survivent au drame qui a lieu entre autres en Palestine, seront marqués à vie, à l’instar des enfants et adolescents meurtris et abandonnés qui ont subi les guerres en Syrie comme dans bien d’autres pays du Moyen-Orient, mais aussi en Ukraine.

Si on y prend garde, ces enfants et adolescents deviendront des proies pour les mouvements fanatiques et radicalisés qui savent endoctriner et utiliser la chair à canons.

Le devoir de l’humanité ou de ce qu’il en reste, est de proscrire un massacre qui laissera des traces indélébiles, et ne fera au bout du compte que des victimes innocentes au-delà des seules zones de guerre.

Women eLife a conscience de l’impact possible de cette chronique qui défend avant tout le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes mais défend également l’idée que les hommes et femmes de bonne volonté puissent être aidés pour assurer leur avenir dans un monde en plein bouleversement.

Les enfants ne peuvent en aucun cas être les otages victimes de politiques foncièrement inhumaines et de guerres qui transgressent jusqu’à la lie les règles les plus fondamentales des droits de l’homme.

Si l’image qui illustre cette chronique ne provoque pas un sursaut d’indignation et ne donne pas lieu à un cessez le feu, nous ne pourrons que nous en vouloir de ne pas avoir compris ce qu’humanité et paix veulent réellement dire.

Laisser un commentaire