Il est certain que c’est à s’arracher les cheveux. Frustrés puis libérés, on ne sent pour peu qu’on le puisse, d’un seul coup d’un seul pousser des ailes.
On mesure l’effet boost lorsqu’on prend connaissance de la dépêche de l’agence Reuters publiée aujourd’hui à 15H : « Les gens désireux de se faire couper les cheveux faisaient la queue devant les salons de coiffure et les grands magasins vendant des cadeaux et des décorations de Noël étaient occupés samedi alors que la France avait partiellement rouvert après un verrouillage d’un mois. «
Puisqu’on vous dit que le Black Friday ce sera le 4 décembre : un peu de patience que diable !
Sinon, vous risquez de louper les démentes promotions de l’année COVID. C’est limite si on ne vous fera pas cadeau de tout pour avoir tenu le coup ! Exigez des remises supplémentaires substantielles quoi qu’il arrive.
De toutes façons ce qui restera sur le carreau finira en déchetteries.
Télétravailleurs, télétravailleuses on ne va pas vous apprendre comment commander via Internet et être livrés dans un point relais proche de chez vous ou à domicile.
Pour peu que vous en ayez les moyens, suivez le mouvement et surconsommez, la planète et plus spécialement les générations à venir vous en seront indéfiniment reconnaissantes.
Et si jamais le coronavirus et ses congénères encore inconnus ont un cerveau, ils doivent bien rigoler en nous voyant aujourd’hui si désemparés et prêts à dépenser sans compter!
Non d’un COVID, déclencher une surconsommation virale à l’échelle nationale et internationale faisait-il partie de leur stratégie masquée ?