Surtout pas de confusion !
Il ne s’agit en l’occurrence pas du chant donné à la louange d’un sentiment religieux, mais d’une nouvelle technologie de rupture en plein bouillonnement dans l’univers informatique.

Cantique ou quantique: on appelle ça une homonymie dont la compréhension ne nécessite aucun recours aux algorithmes.
Quoi qu’il en soit, parler de quantique aujourd’hui, est particulièrement bienvenu.

Tout d’abord en raison de l’ouverture en début de semaine, à Las Vegas, du Consumer Electronics Show (CES) 2020, vitrine des dernières technologiques en tous genres qui s’en nourrissent.

Ensuite, bien que ce temps fort de l’innovation tous azimuts, se trouve cette année quelque peu relégué en coulisses de l’actualité pour cause d’évènements qui n’ont rien de virtuels: phénomène « Monster » en Australie; réforme des retraites avec conflit social sans fin en France; menace de conflit armé au Moyen-Orient ou encore du Brexit désormais sur les rails au Royaume-Uni, personne ne peut ignorer l’importance et l’impact du quantique sur l’évolution des technologies.

Autant dire qu’en présentant, jeudi 9 janvier, son rapport sur la stratégie française concernant le quantique qui représente la prochaine rupture technologique majeure, Paula Forteza, députée LREM, avait choisi le bon moment.

En dépit de la dimension modeste de son écosystème, la France bénéficie dans ce domaine d’une base solide – chercheurs, industriels, startups et investisseurs – en mesure de lui permettre de tirer son épingle du jeu dans la bataille mondiale naissante autour de l’informatique quantique.

Women e Life, webmagazine féminin ouvert sur le monde qui doit beaucoup aux avancées technologiques, ne pouvait se priver d’assouvir la légitime curiosité suscitée par le rapport de Paula Forteza.

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