ÊTRE UNE FEMME VIEILLISSANTE À FORTE PERSONNALITÉ PEUT ÊTRE UN RÉEL ATOUT

Vous n’allez pas en revenir !
Cette information met du baume au cœur à toutes les femmes angoissées par leur vieillissement aux effets look jugés dévastateurs. Elle fait également écho à celle relative au passage du cap des 8 milliards d’habitants sur terre communiquée aujourd’hui par l’ONU qui n’a pu vous échapper.
Car, c’est un fait, l’augmentation progressive de la durée de vie est bien l’un des facteurs qui explique la croissance démographique particulièrement spectaculaire depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

Histoire de vous démontrer que l’arrivée au grand, voire au très grand âge, ne doit pas être un motif d’inquiétude, y compris si la nature ne vous a pas gâtée dès le départ, vous allez vous rendre compte que ce que vous considérez être des défauts marquants, peuvent se transformer en atouts.
Le cas d’Anabel Graetz, une Américaine, a de quoi vous rassurer.

Non, vieillir n’est pas un handicap. Le vieillissement peut même devenir bénéfique à tous points de vue, pourvu qu’on sache vivre avec et mettre à profit les caractéristiques d’une véritable personnalité.

Anabel Graetz a toujours travaillé dans le domaine des arts.
Consciente de disposer d’un visage intéressant et inhabituel, sa récente réussite a de quoi vous convaincre.

Grâce à son faciès, elle a tout d’abord remporté son premier rôle à l’écran à l’âge de 62 ans – dans un court métrage sur la sécurité incendie avec Tom Bosley, mieux connu pour avoir joué Howard Cunningham dans la série télévisée Happy Days.
Il n’en fallait pas plus pour l’encourager à persévérer dans l’univers cinématographique où sa carrière connaît un succès grandissant.

Ce réconfort sur le plan professionnel a eu sur elle une autre conséquence appréciable.

Cet été, à l’âge de 80 ans, Graetz a pour la première fois de sa vie – grâce à ses « cachets » – été en mesure de régler toutes ses dettes, ce qui la conduit à déclarer : « Je gagne plus d’argent que jamais », avant d’ajouter : « Cela ressemble à un tout nouveau monde. »

Cette situation pour le moins originale a le grand mérite de démontrer à toutes les femmes qui s’emploient à vouloir conserver leurs traits et fraîcheur de jeunesse, via chirurgie esthétique et autres botox et silicone, que tout cela est finalement peine perdue.

En 2019, Anabel Graetz a joué le rôle de Cat Lady dans Free Guy, avec Ryan Reynolds. C’était son premier rôle dans un grand film. Et cela s’est avéré être un blockbuster. Le film a rapporté plus de 330 millions de dollars.

De là à en déduire que la réussite s’accroche avant tout à la personnalité remarquable, quel que soit l’âge, il n’y a qu’un pas.

Prenez-en de la graine lorsque Annabel déclare aujourd’hui : « J’ai le genre de visage que les réalisateurs aiment vraiment présenter », « J’ai un visage intéressant. Il ne ressemble pas à tout le monde. De plus, il est très expressif. »

Quelle belle leçon ! Voilà comment on devient star !

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