Le 21 février dernier, le brutal blocage total des informations disponibles via les comptes Meta For Business et Facebook, détenus et gérés par Patrick Gorgeon et Women eLife depuis 2017, serait selon des experts, dû à un piratage de ces derniers.
Ce fâcheux et préjudiciable événement a immédiatement donné lieu à la mise en ligne de plusieurs chroniques et messages d’alerte sur le site web de women eLife, ainsi que sur le compte Linkedin de ce magazine féminin indépendant ouvert sur le monde.
Sur les conseils avisés d’un utilisateur de ce réseau social, un contact a été pris avec une entreprise américaine liée à Meta, cette dernière se déclarant, après coup, en mesure d’assurer, en toute sécurité, la remise en parfait état de fonctionnement du compte et des pages Facebook en question.
Lors des échanges qui ont eu lieu vendredi avec des interlocuteurs de cette société répondant au doux nom de Cyberckrack, il a été confirmé que cette opération pouvait se dérouler dans les plus brefs délais, moyennant le paiement de 104 dollars.
Conscient de l’intérêt que présente la récupération de ses pages Facebook, mais aussi voire surtout les contacts noués avec quelque 4366 amies, une condition a néanmoins été émise concernant le paiement de ladite somme.
Étant précisé par nos interlocuteurs que l’intégralité des données avaient bien été récupérée pour une remise en ligne sur Facebook, nous avons demandé que la preuve de rétablissement du service soit apportée en nous donnant la possibilité de constater concrètement le résultat sur internet.
Cette société ayant visiblement la capacité de faire la pluie et le beau temps sur ce réseau social, nous avons donné l’assurance qu’après vérification du rétablissement de service, il soit procédé, comme demandé, au virement des 104 dollars demandés sur un compte Paypal.
Or, c’est là que le bas blesse !
Car pour constater la remise en ligne du compte et des pages Facebook, il est tout d’abord demandé d’envoyer le paiement, ce que nous avons refusé de faire, en l’absence de preuves tangibles.
En conséquence, Women eLife regrette la perte de ses 4366 amies rassemblées au fil des années et espère un retour à la raison de Meta et Facebook.
D’autant que certains contacts avaient une grande importance dans le cadre des informations traitées avec le concours de femmes devenues correspondantes en France et surtout dans de nombreux pays ( Iran, Ukraine, Russie, États-Unis, Afghanistan, Mexique, Argentine etc. )
Pour garantir sa ligne éditoriale, sa transparence, son indépendance et son intégrité, Women eLife tient à rester fidèle aux valeurs qu’il défend et n’acceptera en aucun cas de céder aux pressions qu’elles soient d’ordre financier, politique ou encore contraire à son éthique et au respect des règles déontologiques.
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