Un magazine féminin indépendant français ouvert sur le monde, ne peut que s’intéresser de très près aux états généraux de l’information qui débutent aujourd’hui en France, mais aussi à ce qui vaut à la liberté de presse de s’inscrire simultanément au programme à l’échelle européenne.
Placés sous la houlette d’un comité indépendant qui rendra ses conclusions d’ici à l’été 2024, ces États généraux de l’information qui répondent à une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, dépassent la seule question de l’indépendance de l’information, cette dernière en soulevant beaucoup d’autres récurrentes.
Car, depuis quelques temps, sur fond d’affluence de sites en ligne et de réseaux sociaux, de nombreux phénomènes jettent le trouble sur des vitrines d’informations dont la qualité s’avère contestable et devient souvent préjudiciable.
Qu’il s’agisse de fake news, de l’Intelligence artificielle, de la fiabilité de l’information, de la protection du secret des sources…, le journalisme de qualité qui se doit de respecter d’incontournables règles et étapes, se heurte à bien d’autres obstacles.
Tout d’abord, en raison de la détention de nombreux titres en presse écrite et autres médias radio et télé par des groupes de presse appartenant à des représentants du pouvoir de l’argent, une situation qui conduit le public à douter de la fiabilité de ce qui lui est donné de lire, d’entendre, de voir.
Selon l’Elysée, les travaux engagés visent à trouver de « nouveaux équilibres » dans un paysage médiatique en pleine mutation et dans un contexte de « défiance globale ». Il est précisé que ces derniers devront permettre de proposer des actions concrètes qui pourront se déployer au plan national, européen et international.
Pour protéger le pluralisme de l’information et la liberté des journalistes, face aux difficultés de diffuser des informations de qualité, sans nul doute faut-il protéger le pluralisme de l’information, mais aussi lutter contre la concentration des médias
Dans cet esprit, il importe de légiférer et de promouvoir l’éducation au média, comme cela se pratique déjà chaque année, à l’occasion de la Journée de la presse dans les établissements scolaires.
Au vu des différents facteurs évoqués précédemment qui nuisent à la qualité de l’information, il apparaît également indispensable que les aides de l’Etat à la presse soient revues et ajustées afin de protéger le pluralisme et la qualité de l’information.
Women eLife qui a été créé en 2017 et, offre une consultation gratuite de ses chroniques, interviews et reportages, a jusqu’ici su préserver son indépendance et sa ligne éditoriale qui met l’accent sur les idées, projets et actions et filles et femmes, dans tous les domaines, à l’échelle nationale et internationale.
Animé par un journaliste professionnel dont l’expérience et les compétences sont reconnues, ce média ne bénéficie cependant pas en l’état actuel, d’aucune aide et subvention, ni même de publicité.
Aussi, conscient que la qualité de l’information a un prix , mais aussi que la gratuité d’accès à toutes les informations mises en ligne quasi-quotidiennement n’a rien d’un modèle économique, une sage décision d’impose.
Afin d’être en mesure de relever de nombreux défis liés aux travaux journalistiques mais aussi aux besoins matériels impliquant le recours aux nouvelles technologies, Women eLife compte se transformer en une SARL de presse.
C’est alors seulement par cette initiative que Women eLife sera en mesure de solliciter l’aide accordée à la presse et aux médias en ligne prévus dans les textes, l’expérience acquise pendant quasiment 7 années et les informations diffusées depuis lors permettant de justifier le caractère fondé de cette légitime demande.
Toutefois, l’octroi de cette aide ne pourra, en tout état de cause, être assimilée à un Sésame susceptible de répondre à l’ensemble des besoins d’une entreprise de presse qui passent par le recours et la rémunération de journalistes et de services techniques.
Annoncer le prochain franchissement de cette nouvelle étape que s’apprête à franchir Women eLife alors que s’ouvre les états généraux de l’information, témoigne de la volonté d’un journaliste de mener à bien la mission qu’il s’est fixé en choisissant de porter un autre regard sur le féminisme appelé à se confirmer dans les temps à venir.
Suivant la devise de Women eLife : » Regarder les réalités en face et donner de la voix », cette chronique qui n’est pas le produit de l’IA, se devait d’être déclinée en podcast par son auteur.
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