En dépit de vacances bien méritées en cette période de fêtes de fin d’année, Women eLife n’a pu s’empêcher de vous inviter à relire ou découvrir via ce lien « WeL », l’une des chroniques consacrée à Nikki Haley, candidate à la présidence des États-Unis en 2024.
Haley a été ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies après que Trump ait remporté la présidence en 2016, avant qu’elle ne démissionne en 2018. Auparavant, elle a été gouverneure de Caroline du Sud de 2011 à 2017.
Dans un sondage d’American Research Group Inc publié jeudi qui demandait aux électeurs quels étaient leurs préférences pour la primaire du New Hampshire prévue le 23 janvier, Haley a obtenu 29 % de soutien contre 33 % pour Trump.
Autrement dit, l’écart entre Haley et Trump se situe dans la marge d’erreur de 4 % de l’enquête, après que l’ancien président ait longtemps dominé les sondages dans la course à l’investiture républicaine à la Maison Blanche en 2024.
Les bons résultats obtenus par Haley dans les sondages semblent avoir suscité une réaction mitigée de la part de Trump, qui fait face séparément à plus de 90 accusations criminelles alors qu’il brigue la présidence des États-Unis pour la seconde fois.
Il est intéressant de savoir que selon deux sources proches des conversations, CBS News a rapporté vendredi que Trump avait également demandé simultanément à son équipe de faire appel à Haley pour devenir candidate à la vice-présidence s’il gagnait finalement la primaire républicaine pour être la candidate au Bureau Ovale de 2024. Si cela est exact, ce serait un signe qu’il convoite capitaliser sur son soutien. CBS a déclaré que ses sources avaient indiqué que la réaction de l’extrême droite à un ticket Trump-Haley avait toutefois été négative.
Quoi qu’il en soit, Nikki Haley vante pour l’instant ses récentes performances dans les sondages.
La présidentielle aux États-Unis sera, à n’en pas douter, l’un des temps forts de l’année 2024.